Et si nous prenions des vacances, chaque jour de notre vie ?

Le mois de juin s’installe, les beaux jours et la chaleur avec lui… Et déjà l’odeur des vacances nous chatouillent les narines. Si bien que la frénésie des  congés/réservations/voyages nous occupe le cerveau.

En général, le mois de juin oscille entre « Vite vite, il faut boucler les dossiers et vite vite, il faut préparer les vacances ». Des vacances que nous attendons avec une ferveur quasi obsessionnelle. Parce que : « Quand même, cette année était difficile, on a beaucoup travaillé, on n’a pas arrêté, alors on les mérite bien ces doigts de pieds en éventail au bord de la plage »… Quitte à se serrer la ceinture encore un peu pour s’offrir les vacances « all inclusive » où les repas seront servis et les enfants gardés.

Et puis, elles arrivent, c’est la folie des valises, des transports, des embouteillages… Quand, enfin, nous sommes bien (entassés) sur la plage, la pression commence à descendre. Mais ce stress du départ accumulé à une fatigue antérieure, a tellement diminué notre système immunitaire que souvent… nous tombons malade ! « Pas de chance », direz-vous certainement.

Mais voilà, tout cela n’a absolument rien à voir avec la chance. Tout cela à avoir avec votre surcharge de travail, votre surcharge mentale, et parfois aussi avec votre surcharge pondérale. Le corps humain n’est pas fait pour être mis sous pression permanente. Les vacances sont tellement rares et tant attendues qu’elles provoquent généralement une détox émotionnelle et physique, parfois bien violente.

Cette décompensation brutale est un nouveau stress qui s’ajoute à notre dose quotidienne. Et rappelez-vous : Si le stress est une réponse normale (et ponctuelle !!) de l’organisme face à une situation de danger, il devient très problématique lorsqu’il devient chronique. Au niveau physiologique, le stress chronique épuise toutes vos hormones, tous vos minéraux… et quand vous avez tout brûlé, par excès de charge de travail, c’est le Burn-Out, dont il est fort difficile de se relever, et qui peut arriver au premier jour de vos vacances !

Alors n’attendez plus les vacances, prenez-les chaque jour !!

Prendre des vacances tous les jours ?? Mais comment vais-je donc faire pour boucler les fins de mois ?

Chez Mint-e, nous défendons cette merveilleuse sobriété heureuse si chère à Pierre Rabhi qui nous demandait, espiègle « Y a t’il une vie avant la mort ? ».

Nous défendons le Droit à la paresse, et faisons, nous aussi, l’Éloge de l’oisiveté… D’ailleurs, nous sommes à bonne école : Patrick, le gérant du laboratoire, s’éclipse de temps en temps, une heure ou deux, pour aller se balader ou faire un tour de paddle en mer.

L’auteur Bertrand Russell défend, dans son livre : Éloge de l’oisiveté, une limitation du temps de travail afin de partager celui-ci et de généraliser le loisir. Il prédit que, grâce à cette révolution, le bonheur remplacera la fatigue et que les hommes deviendront plus bienveillants les uns à l’égard des autres, au point de rendre la guerre inutile. Une utopie qui est également partagée par Paul Lafargue, qui dans son ouvrage Le Droit à la paresse, met en lumière le fait que la valeur prétendument morale du travail est le principal obstacle à la libération du prolétariat. Corrompu par l’idéologie bourgeoise, celui-ci se condamne ainsi lui-même à la misère dans le travail alors qu’il devrait naturellement jouir dans la paresse.

L’idée n’est donc par d’arrêter de travailler, mais de poser des instants de vacances quotidiens, autant de parenthèses de respirations salutaires, pour retrouver une qualité de vie et prendre le temps de réfléchir à votre raison de vivre !

Inversez le sablier, et prenez le Temps de vivre

Nous, les humains, nous avons une relation changeante et subjective avec l'horloge. Le temps passe trop vite quand on est en retard, submergé de travail… mais on trouve qu’il traîne trop quand on s'ennuie. Beaucoup de philosophes ont d’ailleurs disserté sur l’ennui que Sartre appelait la « lèpre de l'âme » et dans lequel Kierkegaard y voyait la racine de tout mal. (Si le sujet vous intéresse, ne manquez pas notre podcast sur le Temps , et la vidéo de Dominique Rongvaux)

L’oisiveté, si elle est une parenthèse (quotidienne !) peut en revanche avoir des résultats positifs, stimulant la créativité et la productivité en permettant à nos esprits de vagabonder.

Et si vous sortiez du rang ? Si vous ralentissiez ? Beaucoup de jeunes changent aujourd’hui de vie et inventent un monde nouveau où le luxe ultime est le temps que l’on a pour soi !

Et si l’on prenait, tous les jours, 15 minutes ou une heure pour être bien dans son corps, se régénérer, couper ce stress qui sinon s’accumule tout ou long de la journée. Prendre ce moment de vacances, quotidiennement, est un boosteur de santé mais aussi de clarté et de discernement.

 

Protocole du mois :

Le Z-Stress est un complément alimentaire merveilleux pour apaiser les énergies stériles. Il nous aide à ouvrir la soupape de sécurité au lieu d’être sous tension tout le temps. Ainsi, vous éviterez de foncer tête baissée dans de nouvelles montagnes de travail, et vous trouverez peut-être le temps de vivre « autrement ».

Si vous frisez le burn-out, prenez deux gélules matin et soir.

Si vous avez du mal à démarrer le matin : 3 gélules le matin

Si vous ne trouvez pas le sommeil le soir : 3 gélules à partir de 17h.

 

Travailler mieux pour vivre vraiment

Oui, c'est un fait : les vacances, on doit se débrouiller pour en vivre un peu tous les jours !

Aussi, pour ce mois de juin, nous vous invitons à ouvrir des parenthèses dans votre vie, des parenthèses de calme, de douceur, de sobriété, pour vous guider vers la simple joie de vivre.

Prendrez-vous le temps de préparer notre recette du mois.

Douces vacances de juin à tous !

 

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